Infections sexuellement transmissibles
L’appel pour une infection sexuellement transmissible (IST) relève d’une consultation de manière rapide si le risque est avéré. Cet appel peut aussi cacher d’éventuelles violences sexuelles.
• P2 : si rapport sexuel à risques récent.
• P3.
Pas de particularité.
• analyse du risque infectieux après un rapport sexuel récent.
• critères de gravité :
- complications infectieuses symptomatiques (orchite, prostatite…), dysurie : prise en charge thérapeutique rapide.
- rechercher d’éventuelles violences sexuelles que l’appelant n’ose pas aborder spontanément et cache derrière le risque infectieux.
• R3-R4 : consultation auprès du médecin traitant, d’un spécialiste, d’un centre de dépistage spécialisé ou du planning familial afin de de confirmer l’existence d’une IST et assurer la prise en charge thérapeutique.
Rinçage immédiat à l’eau tiède sans savon. Pas de nouveau rapport sexuel avant la consultation médicale.
(sans objet).
(sans objet).
Transmettre les coordonnées des centres de dépistage.
La consultation dans un service d’urgence est une procédure par défaut s’il existe un risque de contamination VIH pour évaluer l’intérêt d’un traitement prophylactique.
(sans objet).
(sans objet).
Il existe un grand nombre d’IST.
La consultation d'un médecin doit être proposée en urgence à la suite d’un rapport sexuel à risques de contamination par le VIH afin de discuter l’indication d’un traitement antirétroviral.
Quel que soit le risque de contamination, il faut donner les conseils de prévention nécessaires.
Le suivi est important sur le plan psychologique, clinique et sérologique (VIH, hépatite B et hépatite C).